Innovation et les transformations du régime socio-économiques de la Chine (L’)


Présentation au Colloque organisé par le projet MEDIUM et l’AVRIST,31 Mai 2018, Paris.

Théories et modèles de la macroéconomie (Économie et statistiques avancées)


Manuel de macroéconomie Boyer Robert et Pierre-Alain Muet, Economica, Paris, 325 p.

Les défis actuels sont bien plus complexes que ceux des années trente.


Interview pour IddriTV

Une interview de Robert Boyer, chercheur à l’Institut des Amériques, réalisée dans le cadre de la conférence « Une société innovante pour le XXIe siècle » organisée par l’Iddri les 12 et 13 juillet 2013 (iddri.org/Evenements/Conferences-internationales/Une-societe-innovante-pour-le-XXIe-siecle). Robert Boyer rappelle dans cet entretien que contrairement à la crise des années trente, les problèmes à résoudre sont différents. Il en identifie cinq principaux : l’épuisement du partage des gains de productivité (sur lequel nous vivons) ; l’effet négatif de l’environnement sur les modes de vie pour la première fois (exemple de la pollution) ; si les profits vont bien et que la production s’étend, le bien être ne suit pas ; la montée des inégalités ; les effets défavorables des crises financières notamment sur la consommation. Le modèle composite vers lequel nous nous dirigeons doit ainsi résoudre la cohésion sociale, discipliner les marchés financiers, prendre en compte l’environnement dans des mouvements qui combinent à la fois l’innovation au niveau local et la synchronisation par l’État. Il s’agit selon Robert Boyer d’une transition sur une, deux, trois décennies, pour laquelle il faut se donner les moyens. Il revient notamment sur les indicateurs de bonheur ou satisfaction des besoins sociaux, qui sont encore trop peu présents et rendent la transition difficile. Il indique que si la révolution intellectuelle a eu lieu quant à ces indicateurs citant la Commission Stiglitz et Fitoussi), la pratique n’a pas encore suivie. « Nous vivons avec les anciens indicateurs pour piloter une transition avec de nouveaux indicateurs de prospérité ». Robert Boyer recommande de conjuguer deux approches pour mesurer ces nouveaux indicateurs : la réalisation d’enquêtes (indicateur subjectif) associée à des indicateurs objectifs (accès à l’éducation ou à la santé, mortalité infantile, etc)

Vinculos entre el estructuralismo y la escuela regulacionista


Entrevista « Prebisch y los desafios del desarrollo del S. XXI »

Ajoutée le 2 déc. 2013

Este breve video hace parte de una serie desarrollada en el marco del Proyecto « Raúl Prebisch y los desafíos del desarrollo del Siglo XXI » de CEPAL, con el apoyo del International Development Research Centre of Canadá (IDRC), en que se tratan de forma sucinta temas centrales del pensamiento sobre desarrollo y problemáticas del desarrollo de la región. Robert Boyer, Investigador del Instituto de las Américas de Francia y uno de los principales autores de la Escuela Regulacionista, plantea en este video que existen fuertes vínculos entre el estructuralismo de la CEPAL y la Escuela Regulacionista: en primer lugar, que nacen en un contexto de crisis estructural mundial en el cual las teorías ortodoxas fracasan; en segundo lugar, que ambas renuncian al concepto de equilibrio para entender la dinámica económica y social; y finalmente, que comparten la convicción de que no hay una teoría económica universal o general, sino que hay que investigar las relaciones económicas específicas para comprender las economías y formular políticas. Toda la información sobre este proyecto, insumos para la discusión, y las iniciativas de trabajo en red para promover la temática del desarrollo en América Latina y el Caribe en: http://www.prebisch.cepal.org

Les leçons de la crise de l’euro


Entrevue de Robert Boyer,  IDDRI, 13 juillet, 2013

Lectures institutionnalistes de la Chine


La Revue de la régulation fête ses dix ans ! Et encore, si l’on comptait L’Année de la régulation, son aînée, elle aussi portée par l’Association Recherche & Régulation, on fêterait aujourd’hui vingt ans de publications.

Le dossier sur l’économie politique de la Chine que nous présentons dans ce numéro est tout à fait représentatif de ces dix premières années. Il témoigne de la réussite de notre pari : faire vivre une Revue d’économie politique, nourrie des approches régulationnistes et institutionnalistes mais aussi de tous les courants qui engagent le dialogue avec elles. Il pointe aussi quelques-uns des défis auxquels il nous faut faire face.

Pour préparer ce dossier consacré à l’espèce particulière de capitalisme qui se développe aujourd’hui en Chine, Robert Boyer, co-fondateur de la Théorie de la Régulation et de la Revue du même nom, s’est associé à Sébastien Lechevalier (EHESS) (voir l’introduction au dossier). Dix ans après son lancement, un tel dossier permet de jeter un regard rétrospectif et actuel sur ce que représente notre Revue  – et notre communauté de chercheurs. Sans nul doute, la construction de dossiers, souvent portés par des membres du comité de rédaction en collaboration avec un ou plusieurs chercheurs extérieurs à la Revue, est l’une des clés de la dynamique scientifique qui l’anime. Lire la suite…

 

Les théories économiques contemporaines à l’épreuve de la trajectoire chinoise


Introduction au dossier « Lectures institutionnalistes de la Chine », Revue de la régulation, n° 21, Premier semestre 2017.

Intervention


Intervention aux journées « Le printemps de l’Economie« ,  Débat avec Patrick Artus Intervention aux journées de l’Economie, Paris. 27 Avril 2016.

Économie politique des capitalismes. Théorie de la régulation et des crises


Grand Repère Manuel, La Découverte, Paris, Octobre 2015

Pourquoi le régime de croissance des trente glorieuses s’est-il enrayé ? Comment expliquer que les innovations financières aient d’abord accéléré la croissance avant de déboucher sur une crise majeure ? L’euro, supposé unifier le vieux continent, ne creuse-t-il pas une fracture Nord-Sud ?
La théorie de la régulation répond à ces questions. Lors de sa création, dans les années 1970, elle a emprunté à Marx l’analyse de la dynamique du capitalisme, à l’école des Annales la nécessité d’une mise en perspective historique longue, aux post-keynésiens les outils de la macroéconomie. Depuis, elle n’a pas cessé de retravailler ses concepts, ses méthodes, et d’étendre son champ d’application. Aujourd’hui, sous l’hypothèse fondatrice du rôle déterminant des institutions et de leur architecture, elle est une économie politique qui explique les régimes de croissance stabilisée et leurs crises, avec une attention particulière à l’articulation de l’économique et du politique.
Cet ouvrage expose les notions centrales de la théorie de la régulation en les situant par rapport aux théories orthodoxes, mais aussi aux différentes alternatives hétérodoxes. Ce manuel d’économie politique, sans équivalent, synthétise plusieurs décennies de travaux d’un réseau international de chercheurs.

Quel serait pour vous le progrès dans 10 ans ?


Esprit Public,11 décembre 2014 Video

Ecoutez le point de vue de Najat Vallaud-Belkacem, Thierry Mandon, Pascal /Saint-Amans, Karine Berger, Pierre-Alain Muet, Frédéric Bardeau, Valérie Rabault, Pascal Canfin, Corine Pelluchon, Robert Boyer et Bruno Patino/

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