Une « grande » théorie est-elle encore possible ?


Revue de Philosophie Economique,  Numéros » 2023/2 (vol. 24) – Varia , p. 213-236.

Le capitalisme de plateforme : quel futur ?


https://youtu.be/MjhmvHiE7C8

Participation au séminaire de la Fondation Gabriel Péri, Séance 4 du séminaire Capitalisme: vers un nouveau paradigme? , Paris, 17 mars 2022 , séance avec Frédéric Boccara et Robert Boyer, animation: Stéphanie Gwizdak.

Le capitalisme sort considérablement renforcé par cette pandémie


Entretien par Antoine Reverchon, Le Monde, Idées, samedi 3 octobre 2020, p. 28-29

Plan de survie


Entretien, Revue Esprit. L’économie contre l’écologie ? Mars 2020, n° 462.

¿Capitalismo de plataforma transnacional, capitalismo de estado o un declive impuesto por la ecología?


Espagnol. Présentation Powerpoint, Conférence au Colegio de Mexico le 16 janvier 2020.

La crisis civilizatoria: Marx, capital y trabajo hoy


Conférense CLACSO, 8eme Conferencia Latinoamericana  y Caribeña  de Ciencias Sociales, Cuidad de Buenos Aires, 19-23 de Noviembre 2018

 

#CLACSO2018 #FORO_Marx200años

L’économie comme science sociale. Quelques enseignements de la théorie de la régulation


in Des sciences sociales à LA science sociale. Fondements anti-utilitaristes, Sous la direction de Alain Caillé, Philippe Chanial, Stéphane Dufoix et Frédéric Vandenberghe, 2018, Editions le bord de l’eau, Chap. III, p. 65-81

Au moment où la querelle fait rage entre les sociologues en France, comme il y a un an entre les économistes, il est urgent de rappeler que le mot « sociologie » a longtemps servi à désigner la science sociale en général (économie et philosophie politiques incluses, aussi bien que l’anthropologie, l’histoire ou la géographie) et qu’elle est une chose trop importante pour la confier aux seuls sociologues. Elle est l’affaire de tous les social scientists. À côté des sciences sociales spécialisées, c’est une science sociale généraliste, seule à même de penser le monde dans toute sa complexité, qu’il nous faut maintenant faire advenir et instituer. Une science sociale qu’il est urgent, également, de fonder une bonne fois sur des bases non-utilitaristes et dans une ouverture résolue à toutes les sociologies et à toutes les sciences sociales  du monde entier, et pas seulement à celles qui viennent de l’occident. Replacées dans ce cadre plus général, la plupart des querelles de chapelles se résolvent d’elles-mêmes. Pour le plus grand bien d’un désir partagé de connaître. Qu’un tel objectif soit accessible, c‘est ce dont témoignent la variété et la qualité des auteurs ici réunis, anthropologues, économistes, géographes, historiens, philosophes ou sociologues.

Welfare


   Copyright Jose Porfiro

Robert Boyer, in UFRJ, Rio de Janeiro, 28 Jun 2010

Crisis y Hegemonía en la economía mundial caracterización, perspectivas y tendencias


Robert BOYER en la UNM – Congreso de Economía Política Internacional 2015  Universidad Nacional de Moreno

El Economista francés, Robert BOYER participó de un panel, en el marco del Congreso de Economía Política Internacional. Su disertación estuvo referida a « Crisis y Hegemonía en la economía mundial caracterización, perspectivas y tendencias ».

Transformation des capitalismes, nouveaux modes de gestion du travail et subjectivité des salariés


Dans Travail et subjectivité. Perspectives critiques, Daniel Mercure et Marie-Pierre Bourdages-Sylvain (Dir.), Chapitre 1, Collection Sociologie Contemporaine, PUL (Presses Universitaires de Laval), Canada, 4ème trimestre 2017, p. 13-42.

DESCRIPTION

Ce livre porte sur les rapports entre le travail et la subjectivité dans le contexte des nombreuses transformations en cours dans le monde du travail. Il vise à analyser et à critiquer les nouvelles pratiques managériales qui s’emploient à mobiliser la subjectivité au travail. Les auteurs, sociologues, économistes, psychosociologues, psychanalystes et théoriciens de la gestion, présentent d’abord les changements économiques, organisationnels et socioculturels qui président à la mise en forme du capitalisme contemporain. Ensuite, ils examinent et critiquent les nouvelles pratiques managériales qui visent à mobiliser la subjectivité des travailleurs aux fins de la valorisation du capital. Tout au long de l’ouvrage, les effets psychosociologiques de telles pratiques sont analysés de près, de même que les réponses des travailleurs qui revêtent diverses formes d’opposition et de résistance individuelle et collective.

Ont contribué au présent ouvrage : Guy Bellemare, Marie-Pierre Bourdages-Sylvain, Robert Boyer, Jean-François Chanlat, Pierre-Antoine Chardel, Olivier Cousin, Eugène Enriquez, Vincent de Gaulejac, Fabienne Hanique, Danièle Linhart, Danilo Martuccelli, Dominique Méda, Daniel Mercure, Marcelo Otero, Jacques Rhéaume, Christian Thuderoz et Michel Wieviorka.

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