La théorie de la régulation au fil du temps.


Suivre l’évolution d’un paradigme au gré des transformations des capitalismes contemporains, R. Boyer (dir), Avril 2018, Editions des maisons des sciences de l’homme associées, Collection interdisciplinaire EMSHA , La Plaine Saint Denis

 

Le présent ouvrage propose au lecteur un aperçu sur la trajectoire intellectuelle d’un groupe de chercheurs qui se sont attachés à éclairer certaines questions liées à la recherche sur l’économie et la société selon les approches développées par la Théorie de la Régulation, ceci à travers un permanent aller-retour entre les enseignements et prédictions du cadre conceptuel élaboré pour rendre compte de la rupture des Trente glorieuses et de la réalité des évolutions observées depuis lors.
La particularité du présent ouvrage est de donner à voir l’ajustement de ce paradigme d’année en année jusqu’à la période contemporaine. En quelque sorte, il propose de visiter le laboratoire d’où sont sorties les nombreuses publications dérivées de la Théorie de la Régulation.

Planning: past, present and future


Présentation powerpoint au Séminaire « Planning and Long-Term Perspective in Economics », INALCO, Paris, 6 Avril, 2018

La codétermination sera-t-elle la forme normale du gouvernement d’entreprise ?


Présentation au Colloque « Gouvernement, Participation et Mission de l’entreprise », Collège des Bernardins, Paris,

16 mars 2018

Entrevue : Etats-Unis/Mexique : le grand basculement


https://www.youtube.com/watch?v=aG-WcUU_yps

Entrevue du 1er Mars 2017, Institut des Amériques, Paris.

Théories et modèles de la macroéconomie (Économie et statistiques avancées)


Manuel de macroéconomie Boyer Robert et Pierre-Alain Muet, Economica, Paris, 325 p.

Le BREXIT : Souveraineté nationale contre internationalisation de l’économie


In : La dette souveraine: Etat et économie politique, sous la direction de Julia Christ et Gildas Salmon,  Collection « Raisons pratiques », Éditions de l’EHESS, Paris, Mars 2018, p. 9-47.

 

Es el fin de la globalización del mundo entero


El economista francés Robert Boyer dialogó con Télam acerca de las causas de la crisis en Grecia y de cómo se puede revertir ese escenario. También se refirió al futuro de Europa y a los modelos que funcionan bien en el viejo continente. Además opinó sobre el rumbo de Latinoamérica y del poder que tiene Brasil en la región.
Mai 2010

Welfare


   Copyright Jose Porfiro

Robert Boyer, in UFRJ, Rio de Janeiro, 28 Jun 2010

El rol del Estado en la economía


Entrevista con el enonomista frances Robert Boyer sobre fondos buitre, economía latinoamericana y crisis en Europa. (Raúl Dellatorre/ Economía). Emitido por Visión 7, noticiero de la TV Pública argentina, el miércoles 12 de noviembre de 2014. http://www.tvpublica.com.ar

Les défis actuels sont bien plus complexes que ceux des années trente.


Interview pour IddriTV

Une interview de Robert Boyer, chercheur à l’Institut des Amériques, réalisée dans le cadre de la conférence « Une société innovante pour le XXIe siècle » organisée par l’Iddri les 12 et 13 juillet 2013 (iddri.org/Evenements/Conferences-internationales/Une-societe-innovante-pour-le-XXIe-siecle). Robert Boyer rappelle dans cet entretien que contrairement à la crise des années trente, les problèmes à résoudre sont différents. Il en identifie cinq principaux : l’épuisement du partage des gains de productivité (sur lequel nous vivons) ; l’effet négatif de l’environnement sur les modes de vie pour la première fois (exemple de la pollution) ; si les profits vont bien et que la production s’étend, le bien être ne suit pas ; la montée des inégalités ; les effets défavorables des crises financières notamment sur la consommation. Le modèle composite vers lequel nous nous dirigeons doit ainsi résoudre la cohésion sociale, discipliner les marchés financiers, prendre en compte l’environnement dans des mouvements qui combinent à la fois l’innovation au niveau local et la synchronisation par l’État. Il s’agit selon Robert Boyer d’une transition sur une, deux, trois décennies, pour laquelle il faut se donner les moyens. Il revient notamment sur les indicateurs de bonheur ou satisfaction des besoins sociaux, qui sont encore trop peu présents et rendent la transition difficile. Il indique que si la révolution intellectuelle a eu lieu quant à ces indicateurs citant la Commission Stiglitz et Fitoussi), la pratique n’a pas encore suivie. « Nous vivons avec les anciens indicateurs pour piloter une transition avec de nouveaux indicateurs de prospérité ». Robert Boyer recommande de conjuguer deux approches pour mesurer ces nouveaux indicateurs : la réalisation d’enquêtes (indicateur subjectif) associée à des indicateurs objectifs (accès à l’éducation ou à la santé, mortalité infantile, etc)

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