Kaldor’s Growth Theories : Past, Present and Prospects for the Future


Avec Pascal PETIT,

Dans Nicholas Kaldor and Mainstream Economic, W. SEMMLER and E. NELL Eds, Mac Millan.1989, p. 485-517.

Préface


Croissance, crise et régulation en économie ouverte. La Belgique entre les deux guerres,            Isabelle CASSIERS, De Boeck Université, Bruxelles, 1989, p. 5-10.

Économie et Instabilité, Nicholas KALDOR


Éditions Economica, Paris 1987. (en collaboration avec B. de Largentaye, P. Petit, G. Schmeder, H. Schrameck‑De Largentaye.)

La flexibilité du travail en Europe


Fédération Européenne de Recherches Economiques, Paris 1986 et Editions la Découverte, Paris 1987.

En Espagnol: La flexibilidad del trabajo en Europa, Ministerio de Trabajo y Seguridad Social, España, 1986,

9784938661601

 

En Japonais:(R・ボワイエ著『第二の大転換―EC統合下のヨーロッパ経済』井上泰夫訳、藤原書店、1992年)Fujiwara Shoten, 1992, Tokyo

 

 

 

En Italien, La Flessibilita del laboro in Europa (traduction E. Wolleb), Franco Angeli, Milan, 1987

 

Capitalisme fin de siècle


capital

 

 

(R. BOYER Ed), Presses Universitaires de France, Paris 1986.:

 

 

 

 

En Japonais : R・ボワイエ著『世紀末資本主義』山田鋭夫訳、日本評論社、1988年.

La théorie de la régulation : une analyse critique


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La Découverte, Paris,1986.

 

 

 

9784938661106

 

 

En Japonais: ・ボワイエ著『レギュラシオン理論』山田鋭夫訳、藤原書店、1990年)

 

 

school

 

 

En Anglais, The régulation school. A critical interpretation, Columbia University Press, New York, 1990

 

 

 

russe2

 

En Russe: 1997

 

 

 

 

 

En Espagnol: La teoria de la regulacion: un analysis critico, SECYT, CONICET, CREDAL, Editorial Humanitas, Buebos Aires, diciembre 1989.

En espagnol: La teoria de la regulacion. Une analisis critico, Edicions Alfons El Mananim, Generalitat Valenciana,Valencia (SP) Julio 1992

teoria

 

 

En Portugais: A teoria da regulaçao. Uma analise critica, Nobel; Sao Paulo, 1990.

 

 

 

 

 

En Grec 1990.

 

 

 

 

 

En Coréen:  « South Korea : A wonder land for regulation approach studies ». Introduction pour la Traduction Coréenne.

Pôles de compétitivité, stratégie industrielle et politique économique


 » Compte tenu de l’actualité des discussions sur le devenir industriel de la France , il peut être éclairant de faire retour sur un article datant de 1982. Il diagnostiquait la plupart des faiblesses structurelles qui se sont manifestées depuis lors par une désindustrialisation marquée en dépit de diverses tentatives de  politique industrielle et ou d’innovation alternatives. Quelles leçons tirer de cet écart entre diagnostic et capacité  de la politique économique à infléchir une trajectoire nationale peu favorable ?   »

Actes des journées de travail des 15 et 16 Novembre 1982 : Une politique industrielle pour la France.(En collaboration avec Michel Aglietta)

                 Couverture Orange CEPREMAP‑CEPII n° 8223, Décembre 1982, 58 p.

Résumé –

Ce travail esquisse une représentation des relations croisées entre situation vis à vis des échanges extérieurs, orientation générale de la politique industrielle et effets sur l’industrie de la politique sociale, économique et financière. Après avoir défini un pôle de compétitivité par les multiples effets d’entraînement qu’il exerce dans l’ensemble du système productif, on montre que les difficultés actuel­les de rééquilibre du commerce extérieur français tiennent pour une large part au faible nombre et à la fragilité de ces pôles. De fait la compétitivité globale dépend de façon cruciale de l’ensemble des formes d’organisation propres à chaque pays, qu’elles concernent les relations professionnelles du travail, les relations entre grande industrie et sous‑traitance, le pouvoir d’impulsion de l’Etat sur l’innovation technique et industrielle, la qualité de la formation générale et professionnelle et celle de ses liens avec l’industrie. C’est précisément dans ces divers domaines que le papier suggère des axes stratégiques pour une politique industrielle tenant compte de la gravité de la présente crise. On insiste ainsi tour à tour sur le rôle fondamental de la compétitivité acquise par une suprématie concer­nant la qualité, l’importance de la diffusion des nouvelles technologies à l’ensemble des branches, l’intérêt de relations directes entre utilisateurs et producteurs. Selon la problématique développée, la gestion de la contrainte extérieure devrait être pragmatique et diffé­renciée car orientée par rapport à l’objectif essentiel de constitution à terme de nouveaux pôles de compétitivité. On examine enfin les risques de conflit de cette politique industrielle avec la politique macroécono­mique. On souligne ainsi les possibilités d’antagonisme entre compétiti­vité et emploi ‑ tout au moins à moyen terme ‑, entre politique de désin­flation et transfert d’une partie significative du revenu en direction de l’industrie. On montre enfin les effets défavorables sur l’industrie d’une politique de change inadéquate et on plaide en faveur d’une meilleure articulation entre politique industrielle et gestion straté­gique du change. Le travail insiste en conclusion sur la nécessité de définir de nouvelles règles du jeu et de construire progressivement de nouvelles formes d’organisation. L’innovation économique et sociale plus encore que technologique est sans doute au cœur des années quatre-vingt.

 

Accumulation, Inflation, Crises


accumulation

 

 

(en collaboration avec Jacques MISTRAL), Presses Universitaires de France, Paris 1978, Seconde Édition actualisée et refondue, 1983

 

 

 

En Japonais :

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