Wages reforms imposed by the state : some paradoxes in French incomes policies


in R. DORE, R. BOYER and Z. MARS Eds The Return to Incomes Policy, Pinter Publishers, London, 1994, p. 47-70.

Le capitalisme Française et ses concurrents : 1945-1991. Du mirage au miracle


L’Etat de la France, La découverte, Paris, 1992.

Vers l’érosion du particularisme français ?


French Politics and Society, Vol. 10, n° 1, Winter 1992, p. 9-24.

Cinquante ans de relations entre économistes et historiens : réflexions d’un économiste sur les cas de la France et des Etats-Unis


Le Mouvement Social, n° 155, Avril Juin 1991, p. 67-101.

les paradoxes francais de la crise des annees trente


coordination du numéro spécial du Mouvement Social, n° 154, Janvier‑Mars 1991.

En Japonais: Régulation; Sciences Économiques des crises et de la croissance Éditions Shogakugan, Tokyo, 1992

Le particularisme français revisité. La crise des années trente à la lumière de


Le Mouvement Social, n° 154, Janvier-mars, 1991, p. 207-243.

L’économie française face à la crise du Golfe. Mise en perspective historique et éléments


Conséquences économiques et sociales de la crise du Golfe arabo-persique, Travaux du Groupe « Anti Crise », C.G.P., La Documentation Française, Octobre 1990, p.154-215.

 

La informatizacion de la production y la polivalencia


La  Ocupacion del Futuro, Esthela GUTIERREZ GARZA Coordinadora, Fundacion Friedrich Ebert-Mexico, Editorial Nueva Sociedad, Caracas, 1990, p.23-45.

Pôles de compétitivité, stratégie industrielle et politique économique


 » Compte tenu de l’actualité des discussions sur le devenir industriel de la France , il peut être éclairant de faire retour sur un article datant de 1982. Il diagnostiquait la plupart des faiblesses structurelles qui se sont manifestées depuis lors par une désindustrialisation marquée en dépit de diverses tentatives de  politique industrielle et ou d’innovation alternatives. Quelles leçons tirer de cet écart entre diagnostic et capacité  de la politique économique à infléchir une trajectoire nationale peu favorable ?   »

Actes des journées de travail des 15 et 16 Novembre 1982 : Une politique industrielle pour la France.(En collaboration avec Michel Aglietta)

                 Couverture Orange CEPREMAP‑CEPII n° 8223, Décembre 1982, 58 p.

Résumé –

Ce travail esquisse une représentation des relations croisées entre situation vis à vis des échanges extérieurs, orientation générale de la politique industrielle et effets sur l’industrie de la politique sociale, économique et financière. Après avoir défini un pôle de compétitivité par les multiples effets d’entraînement qu’il exerce dans l’ensemble du système productif, on montre que les difficultés actuel­les de rééquilibre du commerce extérieur français tiennent pour une large part au faible nombre et à la fragilité de ces pôles. De fait la compétitivité globale dépend de façon cruciale de l’ensemble des formes d’organisation propres à chaque pays, qu’elles concernent les relations professionnelles du travail, les relations entre grande industrie et sous‑traitance, le pouvoir d’impulsion de l’Etat sur l’innovation technique et industrielle, la qualité de la formation générale et professionnelle et celle de ses liens avec l’industrie. C’est précisément dans ces divers domaines que le papier suggère des axes stratégiques pour une politique industrielle tenant compte de la gravité de la présente crise. On insiste ainsi tour à tour sur le rôle fondamental de la compétitivité acquise par une suprématie concer­nant la qualité, l’importance de la diffusion des nouvelles technologies à l’ensemble des branches, l’intérêt de relations directes entre utilisateurs et producteurs. Selon la problématique développée, la gestion de la contrainte extérieure devrait être pragmatique et diffé­renciée car orientée par rapport à l’objectif essentiel de constitution à terme de nouveaux pôles de compétitivité. On examine enfin les risques de conflit de cette politique industrielle avec la politique macroécono­mique. On souligne ainsi les possibilités d’antagonisme entre compétiti­vité et emploi ‑ tout au moins à moyen terme ‑, entre politique de désin­flation et transfert d’une partie significative du revenu en direction de l’industrie. On montre enfin les effets défavorables sur l’industrie d’une politique de change inadéquate et on plaide en faveur d’une meilleure articulation entre politique industrielle et gestion straté­gique du change. Le travail insiste en conclusion sur la nécessité de définir de nouvelles règles du jeu et de construire progressivement de nouvelles formes d’organisation. L’innovation économique et sociale plus encore que technologique est sans doute au cœur des années quatre-vingt.

 

Accumulation, Inflation, Crises


accumulation

 

 

(en collaboration avec Jacques MISTRAL), Presses Universitaires de France, Paris 1978, Seconde Édition actualisée et refondue, 1983

 

 

 

En Japonais :

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