Formas de capitalismo, América Latina y el sistema internacional después de la gran crisis


In Carlos Alba Vega y Ilán Bizberg (coordinadores), Dimensiones sociopoliticas y economicas de la crisis global y su impacto en los paises emergentes, Publication Ciudad de Mexico, el Colegio de Mexico, Centro de Estudios Internacionales, Institut de Recherche pour le Développement, 2017, p. 39 – 83.

Brexit: the day of reckoning for the neo-functionalist paradigm of European Union


Socio-Economic Review, Discussion Forum: « Brexit: understanding the socio-economic origins and consequences » , 2016, Vol. 14, n° 4, p. 836-845.

Abstract

Jacqueline O’Reilly, Julie Froud, Sukhdev Johal, Karel Williams, Chris Warhurst, Glenn Morgan, Christopher Grey, Geoffrey Wood, Mike Wright, Robert Boyer, Sabine Frerichs, Suvi Sankari, Akos Rona-Tas and Patrick Le Galès

The unprecedented geopolitical shift resulting from Brexit reflects deep socio-economic fault lines within and beyond the UK. In many ways foreshadowing the US presidential election of Donald Trump, Brexit brought to the surface and gave a public voice to socio-economic divisions that were deeply embedded, sometimes illogical, but until now had either been ignored or hushed out of ‘respectable’ public debate. This Discussion Forum emanates from a spontaneous seminar organized 2 days after the Brexit vote on June 25, 2016 as part of the SASE conference held in University of California–Berkeley and followed by an open call for papers by Socio-Economic Review. The papers here draw attention to the origins of the Brexit vote in deep-seated socio-economic divisions (O’Reilly), widening differences in economic performance across sectors and regions of the UK (Froud, Sukhdev and Williams) and the growth of poor quality jobs (Warhurst). Meanwhile, the political dynamics of the Brexit vote were also shaped by the fractured nature of UK business elites (Morgan), divisions between locals and cosmopolitans (Grey) and creative but muddled actions of elites that arguably generated consequences they themselves failed to fully anticipate (Wood and Wright). From the perspective of Europe, Brexit reflects a history of dysfunctional economic policy in Europe that prioritized market competition in ways that neglected and ultimately undermined solidarity (Boyer). Here, Brexit reflects a political strategy to both renationalize and recommodify solidarity in the face of fears over migration, and which are likely to have major consequences for social solidarity in Europe more generally (Frerichs and Sankari). However, Brexit is unlikely to provide a durable social and political solution to the wider tensions between globalization and democracy, which also affect all countries throughout Europe (Rona-Tas). Ultimately, the Brexit vote underlines social divisions that combine class inequalities with regional ones, not just in Britain but throughout Europe (Le Galès).

Le Brexit : un défi pour les sciences sociales, un tournant pour l’Union Européenne


Paper prepared for the « Forum de la régulation« ,
La théorie de la régulation à l’épreuve des crises, Paris 10-12 juin 2015

Present and future of globalization ! Seven features derived from régulation theory


Entretien autour de l’ouvrage « Economie politique des capitalismes »


France Culture Les Carnets de l’économie, émission animée par Dominique Rousset à 17 h 55.

Le 14 décembre 2016 (1/4) –  Régimes de croissance et crises périodiques

Le 15 décembre 2016 (2/4) – Ce que n’est pas la Théorie de la Régulation

Le 16 décembre 2016 (3/4) – Diversité des capitalismes

Le 17 décembre 2016 –

 

A Financeirização da Economia Brasileira: Entrevista com Robert Boyer


Entrevista realizada com Robert Boyer, do CNRS, pelos professores Lena Lavinas, da UFRJ, e Miguel Bruno, da UERJ, no seminário « O Desenvolvimento no Século XXI ».

 

 

Present and future of globalization ! Seven features derived from régulation theory


Paper prepared for the « Forum de la régulation« ,
La théorie de la régulation à l’épreuve des crises, Paris 10-12 juin 2015

 

BREXIT: A social total event, a trump for socio-economics


A Paraître dans SocioEconomic Review (SER) et Economic Sociology newsletter

Qu’est-ce qu’une crise financière ?


dans Manuel d’économie critique, Le Monde Diplomatique, Hors série, 2016, p. 166-167. Toulouse – 15 septembre 2016

Présentation du « Manuel d’économie critique »

Le jeudi 15 septembre, à 20 h 30, salle du Sénéchal, présentation du « Manuel d’économie critique » avec Renaud Lambert et Hélène Richard.

En signant l’échec des théories libérales, la débâcle financière de 2008 aurait pu inciter les gouvernements occidentaux à renouveler leurs politiques économiques. Elle a au contraire resserré le carcan de l’économie néoclassique, dans les chroniques matinales comme dans les manuels scolaires.
Le contre-manuel du Monde diplomatique entend inverser cette logique. Son ambition ? Rendre l’économie accessible au plus grand nombre et en souligner la nature politique. Bref, rappeler que, comme la chose publique, l’économie est l’affaire de tous. Et permettre à chacun de s’en emparer à travers quatre objectifs :

  • apporter un éclairage historique et international souvent oublié ;
  • introduire les analyses d’écoles de pensée marginalisées dans les universités et privées d’accès aux médias ;
  • démystifier les idées reçues qui installent le fatalisme dans les esprits ;
  • dégager l’horizon en rappelant que d’autres voies s’ouvrent à nous.

Renaud Lambert et Hélène Richard sont membres de la rédaction du Monde diplomatique ils ont tous deux coordonnés la réalisation du Manuel d’économie critique.

Le Monde diplomatique s’attaque aux idées reçues sur le libre-échange, la finance, le partage des richesses, etc.

Des mécanismes à la portée de tous

À partir des programmes d’économie de première et de terminale

En détail

Équations impénétrables, courbes énigmatiques, raisonnements nébuleux… L’économie dominante invite à un double renoncement : devant les difficultés techniques d’un univers réservé aux experts, d’une part ; devant des « lois » scientifiques immuables, de l’autre. Le contre-manuel du « Monde diplomatique » entend inverser cette logique. Son ambition ? Rendre l’économie accessible au plus grand nombre et en souligner la nature politique. Bref, rappeler que, comme la chose publique, l’économie est l’affaire de tous. Et permettre à chacun de s’en emparer.

Il y a urgence : en signant l’échec des théories libérales, la débâcle financière de 2008 aurait pu inciter les gouvernements occidentaux à renouveler leurs politiques économiques. Elle a au contraire resserré le carcan de l’économie néoclassique, dans les chroniques matinales comme dans les manuels scolaires.

Nous avons donc réuni certains des spécialistes de l’économie les plus lucides – chercheurs, professeurs d’université et du secondaire, journalistes – autour des programmes de première et de terminale pour en proposer « notre » traitement. Autour de quatre objectifs : apporter un éclairage historique et international souvent oublié des programmes ; introduire les analyses d’écoles de pensée marginalisées dans les universités et privées d’accès aux médias ; démystifier les idées reçues qui installent le fatalisme dans les esprits ; dégager l’horizon en rappelant que d’autres voies s’ouvrent à nous.

Loin des dogmes, notre manuel invite à remettre l’économie au service de la société.

Lire « L’économie comme on ne vous l’a jamais expliquée » par Renaud Lambert et Hélène Richard dans « Le Monde diplomatique » de septembre 2016


Ont contribué à ce manuel :

Samir Amin, Guillaume Barou, Aurélien Bernier, Sophie Béroud, Élodie Bertrand, Robert Boyer, Benoit Bréville, Martine Bulard, Mona Chollet, Laurent Cordonnier, François Denord, François-Xavier Devetter, Cédric Durand, Frédéric Farah, Cyrille Ferraton, Jean Gadrey, Paul Guillibert, Serge Halimi, Michel Husson, Sabina Issehnane, Raoul Marc Jennar, Renaud Lambert, Serge Latouche, Frédéric Lebaron, Sylvain Leder, Frédéric Lemaire, Frédéric Lordon, Jean-Marie Monnier, Caroline Oudin-Bastide, Juan Miguel Pérez, Evelyne Pieiller, Michel Pinçon et Monique Pinçon-Charlot, Dominique Plihon, Laura Raim, Christophe Ramaux, Gilles Raveaud, Mathias Reymond, Hélène Richard, Pierre Rimbert, François Ruffin, Pierre Salama, Émilie Sauguet, Alexis Spire, Philippe Steiner, Bruno Tinel, Julie Valentin, Julien Vercueil, Ibrahim Warde, Arnaud Zacharie, Daniel Zamora.

Notamment au sommaire :

  • Dette publique, faut-il payer ?
  • Les grandes écoles de la pensée économique
  • Comment fut inventée la carte de crédit
  • Flexibilité du travail, l’impasse
  • D’où viennent les accords de libre-échange ?
  • Qu’est-ce qu’une crise financière ?
  • La charité à l’assaut de l’État
  • Ces guerres au service du commerce
  • Revenu universel, une utopie ?

Disponible en kiosques le 8 septembre 2016
– Format : 21 cm X 28,5 cm
– Nombre de pages: 196
– Livraison sous 3 semaines

Liste des chapitres :

I. Une science comme les autres ?

II. Produire plus, toujours plus !

III. Le pont et la cale

IV. Partage des richesses : espoirs et impasses

V. L’emploi, à quel prix ?

VI. Le marché ou la construction d’une évidence

VII. Mondialisation : la mise en concurrence des peuples

VIII. Monnaie, une énigme sonnante et trébuchante

IX. Dette : le chantage

X. Finance : l’insoutenable promesse

La fabrique des inégalités : Japon, Chine, Etats-Unis et Europe


Traduction Toshio Yamada et Hinori Yokota, en Japonais , Edition Fujiwara Shoten, Tokyo, Japon, Septembre 2016.

作られた不平等
日本、中国、アメリカ、そしてヨーロッパ

  • ロベール・ボワイエ
  • 横田宏樹=訳 山田鋭夫=監修
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